Une lecture mitigée…
L’auteur nous relate dans son livre sa propre histoire, sa vision de l’apprentissage de la langue française par un japonais.
Il la compare à l’expérience de son frère. L’un a appris le piano quand l’autre a choisi notre langue. Comme un musicien vit totalement son instrument, il vivra pleinement notre langue.
Il va l’étudier d’abord au Japon, puis il viendra en France parfaire son érudition.
Car il s’agit bien d’érudition, un lettré qui nous fait part de ses réflexions.
Ce livre aurait pu être un essai, le vocabulaire est là pour nous le rappeler et les citations portent souvent sur la philosophie du langage… je n’y ai pas compris grand chose !
Sans porter attention à ces passages, ce livre se lit assez bien, il est plaisant, mais que fait- il donc dans une sélection pour un prix littéraire ??
Caroline en a une lecture très très différente ! à vous de vous faire votre avis, non ?
me voilà donc reparti dans l'aventure du Prix Landerneau, merci à Faits et Gestes