Se faire la belle
Dernier opus du prix Landerneau pour moi, ce choix n’est pas innocent, j’ai déjà lu un livre de cet auteur. Je ne l’avais pas apprécié ! Il est toujours délicat pour moi, dans ce cadre, de lire un second livre. Je l’ai donc rejeté en fin de liste, mais son tour est arrivé. Sans lire les critiques des autres bloggeurs, j’ai constaté que l’avis était souvent positif en tout cas, pas de rejet.
Albert Einstein, surnom de Sébastien Lesquettes, s’ennuie dans sa maison de retraite, il décide de se faire la belle. La belle pour la belle… il va essayer de retrouver son amour de jeunesse, pour Pascal " ce roman est un beau moment de lecture, parfois tendre, parfois
difficile, une ode à la liberté et à l'anti-conformisme, un récit
poignant relaté avec causticité, ironie, lucidité et tendresse" .
C’est bien écrit, drôle, émouvant.
Les rencontres faites au long de sa fugue vont permettre à ce vieil homme de faire encore de belles découvertes, malheureusement un peu tard.
Un très très bon roman.
Un passage (p.53) sur les nouvelles professions en « logue », dont les « connologues » !
Ps : Einstein s’est il échappé de la maison de vieillesse Les Bégonias ?
Papillon lui a donné le Prix Landerneau !
Anne manque d'enthousiasme, Caro[line] y a vu un vieux con, Fashion l'a ressenti comme caricatural et lucide, pour Katell c'est un gout d'amertume, pour Pascal "ce roman est un beau moment de lecture, parfois tendre, parfois difficile, une ode à la liberté et à l'anti-conformisme, un récit poignant relaté avec causticité, ironie, lucidité et tendresse. Lou a trouvé ce patchwork plus ou moins rafistolé, pour Lily c'est une très belle histoire d'amour, d'amitié et de liberté, Joelle a trouvé le thème rabâché à l'extrème
JML y voit une apologie de la révolte.
Le jour où Albert Einstein s'est échapé, Joseph Bialot, Métailié